Indicateurs économiques

Grève dans les transports ferroviaires et aériens allemands

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Un train ODEG arrive à la gare centrale, à Berlin, Allemagne. /Photo prise le 7 mars 2024/REUTERS/Annegret Hilse

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BERLIN (Reuters) -Des milliers d’employés du secteur des transports ferroviaires et aériens allemands se sont mis en grève jeudi à l’appui de revendications salariales.

Les syndicats font pression depuis des mois pour obtenir de meilleurs salaires et conditions de travail afin de faire face à la baisse du pouvoir d’achat en raison d’une forte inflation.

Déjà en grève à la fin janvier, les conducteurs de train de la Deutsche Bahn ont débrayé à 02h00 du matin (01h00 GMT) et l’opérateur national a averti que seule une petite partie des liaisons serait assurée.

Cette action des cheminots, prévue pour une durée de 35 heures, marque le début d’une série de “vagues de grève” annoncées par le syndicat GDL dans le cadre de son bras de fer avec la direction de la Deutsche Bahn pour obtenir une réduction des heures de travail sans baisse de salaire.

Dans le transport aérien, les aéroports de Francfort et de Hambourg ont annulé leurs vols au départ jeudi en raison d’une grève des agents de sécurité à l’appel du syndicat Verdi, qui organise également une grève du personnel au sol de la compagnie Lufthansa (ETR:LHAG) sur deux jours, jeudi et vendredi.

Le personnel de cabine de la compagnie, qui réclame une hausse de salaire de 15%, a également voté mercredi pour le principe d’une grève. Le syndicat UFO qui le représente réfléchit aux prochaines étapes.

Lufthansa, qui publiait jeudi ses résultats pour 2023, a dit s’attendre pour le premier trimestre 2024 à une perte d’exploitation plus élevée que les années précédentes en raison notamment de l’impact des mouvements sociaux.

(Rachel More, Jean-Stéphane Brosse pour la version française, édité par Kate Entringer)

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